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les différents types de centrifugation :

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les différents types de centrifugation :

1.    Le coefficient de sédimentation
Lors d’une centrifugation, la vitesse de sédimentation d’une particule va être fonction de sa masse, de son volume et de la densité du solvant (ce qui détermine la poussée d’Archimède), de l’accélération à laquelle elle est soumise, mais également aux forces de frottement liées à son déplacement dans la solution, forces qui vont dépendre de la taille et de la forme de la particule. La vitesse de sédimentation fait donc intervenir de nombreuses variables, c’est pourquoi elle n’est pas calculée mais mesurée expérimentalement. On mesure donc un coefficient de sédimentation exprimé en Svedberg (S) qui correspond à 10-13 s. Plus la valeur est élevée, plus la vitesse de sédimentation est importante. Pratiquement, on mesure la vitesse de déplacement d’un front de migration de la particule étudiée.
2.    La centrifugation différentielle
Dans ce type de centrifugation, le principe est de séparer les différents constituants le plus souvent à l’aide de plusieurs cycles de centrifugation à accélération croissante. Dans une première centrifugation à faible accélération, les éléments les plus massifs vont sédimenter et former un culot au fond du tube. Tous les autres éléments (pour lesquels l’accélération a été trop faible pour contrebalancer les effets de l’agitation moléculaire, ou pour lesquels le temps de centrifugation a été trop court) vont rester dans la fraction liquide appelée alors surnageant. On récupère alors séparément le surnageant et le culot ce qui revient à avoir séparé les constituants qui les composent. Cette méthode est par exemple couramment utilisée pour récupérer les éléments figurés (les cellules) du sang qui sédimentent pour des accélérations très faibles (quelques dizaines de g).
Au besoin, on peut recommencer un second cycle de centrifugation avec le surnageant précédent, mais avec une accélération plus importante. Progressivement, on sépare ainsi les différents constituants en terminant par les éléments les plus petits et ayant le moins de différence de densité avec le solvant. Précisons que les fractions obtenues sont généralement loin d’être pures, d’autant que les échantillons initiaux sont souvent complexes (exemple du broyat total d’un tissu). L’intérêt est justement de pouvoir traiter des échantillons très complexes, et ce sur des volumes importants avec des rotors adaptés.
Le choix des accélérations dépend du matériel à traiter. Le plus souvent, il y a une phase de mise au point permettant d’adapter le protocole à partir des données de la littérature. Une fois mis au point, le protocole est utilisé dans un but préparatif. La figure 4 dresse une liste non exhaustive des constituants cellulaires et des valeurs d’accélération nécessaires pour les faire sédimenter.
Valeurs indicatives des conditions de sédimentation pour quelques constituants
Constituant cellulaire
Conditions de sédimentation
Noyau
10 minutes à 500 g
Mitochondries, lysosomes, peroxysomes
10 minutes à 5 000 g
Réticulum endoplasmique, appareil de Golgi
1 heure à 100 000 g
Ces valeurs peuvent varier en fonction du matériel utilisé, la composition des membranes pouvant en particulier modifier la densité des constituants. On constate que des constituants différents sédimentent approximativement dans les mêmes conditions. Pour pouvoir les séparer il faut d’autres méthodes, par exemple une centrifugation à l’équilibre sur gradient de saccharose (voir ci-dessous) qui permet de séparer les différents compartiments de l’appareil de Golgi (on parle plutôt de fractions enrichies).

3.    La centrifugation à l’équilibre
Exemple de gradient discontinu


L'échantillon a été représenté au sommet ce qui suppose qu'il soit moins dense que la première couche de solution de saccharose. Il arrive que l'on place l'échantillon au fond, au besoin en ayant au préalable augmenté sa densité en ajoutant du saccharose (par exemple).
Dans une centrifugation à l’équilibre, les différents constituants atteignent une position dont ils ne vont plus bouger, car étant en équilibre. Or l’équilibre est atteint lorsque la densité d’une particule est égale à la densité du solvant, ce qui entraîne que la force gravitationnelle est égale à la poussée d’Archimède. On va donc utiliser un solvant dont la densité va varier en fonction de la position dans le tube, permettant aux différents constituants de rejoindre la zone de densité équivalente à la sienne : on parle de gradient. Pour obtenir des solutions de densités différentes, la méthode la plus classique est d’utiliser des solutions de concentration croissante en saccharose, mais on utilise aussi du chlorure de césium. D’autres molécules sont aussi utilisées mais beaucoup plus marginalement.

Exemple de gradient continu


Le gradient peut être linéaire, mais aussi exponentiel ou logarithmique, selon les besoins. On le coule en faisant varier en continu le débit de deux pompes qui mélangent deux solutions, l'une à 10% et l'autre à 60% de saccharose, dans le cas présent.
Il existe deux types de gradients : discontinus et continus. Dans les deux cas la vitesse de sédimentation ne doit pas intervenir. Il est donc nécessaire de laisser le temps aux particules d’atteindre leur position d’équilibre, ce qui implique des temps de centrifugation assez longs. Bien entendu, les particules les moins denses peuvent se retrouver au sommet du tube (particules moins denses que la solution la plus haute) et les particules les plus denses peuvent former un culot (particules plus denses que la solution la plus basse). Le contenu du tube peut être récupéré par fractions successives, souvent du bas vers le haut, pour utilisation et/ou analyse ultérieure.
  • Les gradients discontinus sont constitués d’un empilement de solutions de moins en moins dense (voir Fig. 5). Les différents éléments s’accumulent aux interfaces entre les solutions de densité différentes. Au-dessus, leur densité étant plus élevée, ils migrent vers le bas, et au-dessous, leur densité étant plus faible, ils migrent vers le haut. Il arrive de limiter le gradient à deux densités seulement avec une solution inférieure très dense. On peut alors utiliser ce gradient minimaliste pour une centrifugation différentielle. La différence est qu’au lieu de former un culot, les éléments les plus denses resteront en phase liquide. Cette méthode est donc beaucoup plus douce que la formation d’un culot (qui impose entre autre de resolubiliser) c’est pourquoi on parle de « coussin ».
  • Les gradients continus pour lesquels la variation de densité est continue (comme leur nom l’indique ; voir Fig. 6). Les différents constituants vont alors migrer jusqu’à atteindre le point précis où leur densité est égale à celle du solvant, formant des bandes parfois visibles à l’œil nu (diffusion de la lumière).
l'importance du phénomène de sédimentation dans l'analyse moléculaire :
l'influence du temps sur la centrifugation
Le processus cinétique de sédimentation peut prendre du temps (jusqu’à plusieurs mois, voire plusieurs années pour certains produits). le formulateur peut être intéressé par des méthodes d’accélération ou des outils de caractérisation plus sensible que l'observation visuelle (technique de diffusion de la lumière, acoustique...). Les mécanismes de séparation de phase sont provoqués par plusieurs phénomènes que l'on peut simplifier en deux catégories, la gravitation et la diffusion. Les méthodes thermiques consistant à stocker l'échantillon à une température supérieure à la température de stockage permettent d'augmenter les phénomènes de diffusion.La température ne doit pas excéder les températures critiques d’inversion de phase et de dégradations chimiques. L'élévation de la température permet également de simuler les conditions de stockage différents en fonction des saisons et lieu. Elle affecte la viscosité, mais également la tension interfaciale dans le cas des tensioactifs non-ioniques et plus généralement les forces d’interactions à l’intérieur du système. L'usage raisonné et éclairé de la centrifugation, de même que l'usage de la température requiert de rester en deçà des points critiques.
Force et accélération centrifuge  
La force centrifuge et le poids s'exerçant sur un objet de masse m sont deux forces qui sont proportionnelles à m, (selon le principe d'équivalence). Aussi, est-il souvent plus évocateur de considérer, non pas les forces F, mais les accélérations F/m.
L'accélération est une grandeur cinématique, dont l'unité SI est le mètre par seconde carrée, (m/s2).
On peut également utiliser le nombre de g, défini par le rapport entre l'accélération considérée et l'accélération de la pesanteur terrestre, laquelle est environ 9,81 m/s2.
En langage courant, le nombre de g est donc le dixième de la valeur de l'accélération exprimée en m/s2.


la technique d’immunhistochimie

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la technique immunohistochimie                             

   Sommaire :

1)-Introduction 
2)-Définition de la technique d’immunhistochimie 
3)-Principe de la technique
4)-Préparation des anticorps  
5)-La méthodes de la technique
5.1)-Les techniques directes
5.2)-Les méthodes immunoenzymatique indirectes
6)-Les marquages
7)-Etude immunohistochimie sur cancer du sein 
7.1)-Définition de cancer du sein 
7.2.1)- détection des récepteurs hormonaux 
7.2.2)- lecture des lames après  immunohistochimie 
7.2.3)- résultats des RO ( récepteurs ostrogénique)
8)-Conclusion  


1)-Introduction :

L’histochimie est l’étude de la composition chimique des cellules, des divers tissus vivants (épithélium de revêtement, glandulaires, musculaires, conjonctifs et osseux, sang et lignées hématopoïétique ) et des réactions chimiques cellulaires et tissulaires au cours des processus métaboliques. L’histochimie regroupe de très nombreuses techniques qui peuvent caractériser les constituants de la cellule (métaux, enzymes, acides nucléiques, glucides, lipides, protéines, etc..).(d’après Marc Maillet et al ).
Nous avons plusieurs méthodes de l’histochimie :
·         Méthode non-spécifique :
ü  Acide Périodique-Schiff (APS).
ü  Test de feulgen.
ü  Incorporation de Précusseurs Radioactifs.
·         Méthode spécifique :
ü  Immunohistochimie(IHC).
ü  Hybridation in situ(HIS).
ü  Histoenzymatique.
Dans notre exposé nous avons voir la méthode spécifique d’immunohistochimie(IHC). (d’après moi).

2)-Définition de la technique d’immunhistochimie :


L’immunohistochimie est une technique associant l’immunologie et l’histochimie, elle permet de localiser et d’identifier des protéines.

Le domaine d’application est très vaste en anatomie et cytologie pathologie étudiant les tissus présentant des altérations lésionnelles. Cette technique apporte une aide au diagnostic en pathologie tumorale et nom tumorale, une aide à l’établissement du pronostic en pathologie tumorale. Elle est utilisée de façon journalière dans les laboratoires et connait un développement accru par l’apparition de méthodes de démasquage antigénique, la commercialisation de nombreux anticorps intéressant des domaines très variés et de systèmes d’amplification de plus en plus performants, permettant de révéler de beaucoup plus faibles quantités d’antigène et ce, après traitement classique des cellules ou tissus par fixation et inclusion en paraffine.
Cet important développement élargit le domaine de la recherche dans l’étude des mécanismes physiopathologiques des maladies en pathologie humaines et expérimentales.
Le schéma technique est le suivant :

3)-Principe de la technique :

Le but de l’immunohistochimie est de mettre en évidence certaines protéines cellulaires, qu’elles soient cytoplasmique. Membranaires ou nucléaires, spécifiques pour un type ou une fonction cellulaire, à l’aide d’une réaction antigène-anticorps, li complexe formé étant rendu visible, donc localisable, par un marqueur coloré.
Le réactif principal est un anticorps spécifique dirigé contre ce motif. Un traceur fixé directement ou indirectement sur l’anticorps permet de détecter la liaison entre l’anticorps et sa cible.

4)-Préparation des anticorps :    

Un anticorps spécifique de l’antigène (protéine) à étudier, est préparé par injection de cet antigène purifie à un animal appartenant à une autre espèce que celle dont on a extrait l’antigène injecté. l’animal traité développe une réaction immunologique: des macrophage phagocytent la protéine, la fragmentent en peptides et les exposent à leur surface grâce au CMH 2 (complexe majeur d’histocompatibilité de type 2). Les peptides sont présentés aux lymphocytes T activent ensuite les lymphocytes B qui se transforment en cellules productrices d’anticorps, les plasmocytes. L’anticorps ainsi obtenu se fixe sur la protéine qui est à l’origine de sa fabrication.( d’après Marc Maillet et al)

5)-La méthodes de la technique :

Il existe principalement deux méthodes concernant l’immunohistochimie et la détection d’antigènes au sein des tissus biologiques :

5.1)-Les techniques directes utilisent des anticorps couplée à la fluorescéine et sont employée surtout sur tissu congelés, pour le recherche de dépôts extra cellulaire.
Exemple : immunofluorescence sur une biopsie rénale congelée.
5.2)-Les méthodes immunoenzymatique indirectes, l’AC spécifique primaire et déposé sur le tissu, puis il est révélé par une 2éme AC couplé à une enzyme à la quelle on fournit             son substrat. Le produit coloré de la réaction enzymatique apparait au niveau du site des complexes Ag-Ac.
Exemple : immunohistochimie de l’insuline dans un ilot de langerhans (technique d’immunophoxydase sur tissu pancréatique fixé et déparaffiné.

7)-Etude immunohistochimie sur cancer du sein :


7.1)-Définition de cancer du sein :le cancer du sein est plus fréquent des cancers chez les femmes. on estime qu’une femme sur 11 sera touchée par ce cancer au cours de sa vie. trés rarement, le cancer du sein peut toucher aussi les hommes (1% des cas).
On distingue plusieurs types de cancers du sein. parmi les deux plus fréquent : le cancer non invasif qui se forme à l’intérieur des canaux de loctation du sein et cancer invasif qui touche les tissus autour de ces canaux. Ce dernier a plus de risque de s’étendre dans le sein et à d’autre organes s’il n’est pas pris en charge rapidement. Dans tous les cas, dépisté tôt, le cancer du sein se soigne très bien et il n’est forcément nécessaire d’enlever tout le sein atteint.
7.2.1)- détection des récepteurs hormonaux :
 des coupes de tissus tumoraux sont étalées sur des lames prétraitées pour une adhésion maximale du tissu au support, puis incubées pendant 60 min à 58 C° et pendant une nuit à 37 C°. le reste de la paraffine est éliminé par deux passages dans les bains de toluène (5min chacun) . les lames sont ensuite plongées dans trois bains  d’alcool à concentration décroissances(5min chacun) et réhydratées par un rinçage à l’eau courante(10min).l’inhibition des peroxydases endogènes est obtenue après incubation des coupes  histologique avec une solution de peroxyde d’hydrogène à 0.4% pendant 15 min ; puis un démasquage antigénique est réalisé en portant à ébullition les coupes histologique dans une solution de tampon citrate(PH=6) pendant 5 min. Après refroidissent, les coupes sont trempées dans une solution de PBS(phosphate buffered saline) pendant 5min, puis elles sont incubées pendant 15min avec la protéine bloquante, ensuite pendant 1h20min avec l’anticorps primaire.après rinçage au PBS, l’anticorps secondaire biotinylé est appliqué d’abord pendant 20 min puis le complexe de peroxydase-streptavidine est appliqué pendant 20min avec rinçage au PBS entre les deux applications(5min chacun).pour révéler la réaction immunohistochimie l’échantillon est recouvert pendant exactement 10min d’un réactif de coloration préparé extemporanément en mélangeant 2 gouttes de chromogène à5 ml d’amino-éthyle-carbazole (AEC).après rinçage a l’eau courante(10min), les lames sont incubées dans un bain d’hématoxyline pendant 1min30s, rincées à l’eau puis passées rapidement dans du carbonate de lithium saturé avant rinçage à l’eau distillée. Enfin, montage des coupes entre lame et lamelle en utilisant un milieu aqueux spécifique à l’AEC.
7.2.2)- lecture des lames après  immunohistochimie :
Les récepteurs aux œstrogènes et la progestérone sont considérés positifs lorsque plus de 10% des noyaux des cellules tumorales étaient marqués, quelle que soit l’intensité du marquage( Awada et al,2005 ;Doweseft et al ;2008).actuellement, le seuil fixé à 1% est introduit dans les recommandations nord-américaines(Hammond et al :2010).
7.2.3)- résultats des RO ( récepteurs ostrogénique) :
La figure 04 montre que 90.91% de la population ont un RO positif, alors que 9.09% de la population ont un RO négatif, on précise qu’un RO est positif lorsque plus de 10 % des noyaux des cellules tumorales sont marqués. L’aspect de ces noyaux est illustré par la figure 05 qui montre un exemple de résultat microscopique d’un cas RO positif. ces patientes ayant des récepteurs des œstrogènes pourront subir un traitement hormonal.

8)-Conclusion :

Les principaux avantages de cette technique sont sa sensibilité, sa spécificité, et la facilité de sa mise en œuvre. De plus, elle permet par une approche morphologie, de préciser la répartition des motifs d’intérêt dans un tissu et de localiser le signal dans les differents compartiments cellulaires.
L’observation est réalisée à l’aide d’un microscope optique conventionnel ou à épi fluorescence pour les traceurs fluorescents. elle peut être appliquée à des coupes de tissu fixé, à des cryocoupes, ou des préparations cellulaires de diverse nature.
La coloration obtenue est stable, permettant archivage et études rétrospectives la qualité du signal obtenu est généralement meilleure à partir de tissu fixé cependant la plupart des fixateurs comportent un risque de modification, de marquage ou d’altération de l’épitope d’intérêt.

                                    Les références bibliographiques:


Marc Maillet, Michel Lemullois, christiane Maillet, 2006.biologie cellulaire.10ème éd .,paris.
M.BENTAHAR MC; cours Méthodes d’études de la cellule ; méthodes d’analyse cytochimique 2 ,physiopathologie cellulaire, biothérapies et innovation ;46p.pdf.
Dr I Rouquette ; novembre 2015; l’immunohistochimie la FISH et autres ISH pour, cours du Gole Strasbourg. hôpitaux de Toulouse.
pegram MD1.,konecny GE, O ‘call afghan C, Berry M, pieteras R,Slamon DJ(2014)Rationnal combinations  of trastuzynab  with chemotheraphietic drays used in the treatement of breast cancer ;JNATL cancer Inst.19 ;96(10) ;739-49.
Altas of diagnostic immunohistopathology.Ed true LD.Lippincott,co.New York,1990.

AMARYLLIDACEAE

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AMARYLLIDACEAE
Définition:
amaryllidaceae est une famille de plantes monocotylédones appartenant à l’ordre des asparagles elle comprend plus de 800 espéces reparties en une soiscantaine de genres .
Ce sont des plantes herbacées essentiellement bulbeuses



DIAGRAME FLORAL

CRINUM PURPURASCEns
règne: plantae
sous-règne:
tracheobionta
division:
magnoliophyta
classe:
liliopsida
sous-classe:
liliidae
ordre:
asparagals
famille:
amaryllidaceae







AMARYLLIS BELLADONNA
Règne: plantae
clade: angiosperme
clade:
monocotyledones
ordre:
asparagals
famille:
amaryllidaceae






NARCISSE. SP
NARCISSUS POETICUS 
HAEMANTHUS ALBIFLOS

le rôle phytohormone et l’influence de facteur environnement sur la morphogènes des plants.

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le rôle phytohormone et l’influence de facteur environnement sur la morphogènes des plants.

Hormones végétales


Les hormones sont des molécules organiques pouvant influencer la physiologie et le développement des plantes et des animaux, et ce , même en faible concentration. Les hormones jouent, notamment, un rôle important dans la croissance et la floraison de la plante. Cet article aborde brièvement le fonctionnement des hormones végétales chez les plantes et le rôle qu’elles jouent pour s’assurer que les plantes entrent en floraison.

Le développement du végétal est influencé par la répartition des hormones en interaction avec les facteurs de l'environnement

  • La répartition inégale de l'auxine dans les tissus, conséquence d'un éclairement anisotrope, permet une croissance orientée. Les ramifications naturelles ou provoquées sont sous la dépendance d'un changement de répartition des hormones dans le végétal qui conduit à unchangement de morphologie.
  • La totipotence des cellules végétales permet le clonage.
  • Les proportions des différentes hormones (rapport des concentrations d'auxine et de La totipotence des cellules végétales permet le clonage. 
  • Les proportions des différentes hormones (rapport des concentrations d'auxine et de cytokininecontrôlent l'organogénèse (tige, racines). 

Rôles des hormones sur la croissance et le développement:


Une phytohormone, ou hormone végétale, est une hormone produite par une plante. C'est une substance chimique organique qui régule la croissance végétale ou qui intervient dans la communication entre individus végétaux différents (un arbre stressé peut émettre une hormone informant d'autres arbres qu'une cause de stress est présente. Ce stimulus peut augmenter la production de tanins ou de molécules défensives de la plante réceptrice). On parle parfois d'hormones de stress pour décrire les molécules émises par des plantes en état de manque d'eau ou blessées, lesquelles peuvent attirer des prédateurs, mais aussi les prédateurs de ces prédateurs
Pour être une phytohormone, une substance doit être:
endogène (c'est-à-dire non fournie par l'environnement)
oligodynamique (et agir à faible dose, de l'ordre de la micromole)
vectrice d'une information (apportée à une cellule cible sélectivement sensible à son action et dont elle influence le fonctionnement).
Ce sont ces exigences qui permettent de faire la distinction entre une phytohormone et une substance trophique.

Nous nous pencherons sur les rôles de 5 groupes d'hormones suivant: les auxines, les cytokinines, les gibbérellines, l'acide abscissique et l'éthylène


Les auxines ont d'abord été découvertes chez les coléoptiles des Graminées. Charles Darwin et son fils Francis ont réalisé plusieurs expériences qui ont permis de montrer que la plante peut réagir à la lumière latérale. Comme ils travaillaient sur l'apex du coléoptile, ils en conclurent que cette région détectait la présence de lumière. Plus tard, on découvrit qu'une substance transmise par l'apex vers le bas de la plante était responsable de cette courbure. En 1926, le Hollandais Went mis en évidence la présence de cette substance. Plus tard, Thimann et ses collègues du California Institute of Technology isolèrent l'auxine et déterminèrent sa structure.
On sait aujourd'hui qu'il existe plusieurs types d'auxines. En général, les auxines favorisent l’allongement cellulaire des coléoptiles, la dominance apicale, la formation de racines adventices, la fructification et la différenciation du tissu conducteur de la tige. Elles préviennent aussi l'abscission des feuilles en réduisant la sensibilité des cellules à une autre hormone, l'éthylène.

Cytokinines

La structure chimique des cytokinines est apparentée à celle de la purine adénine. On trouve des cytokinines dans les régions à forte division cellulaire comme les graines, les fruits, les feuilles et les pointes de racines. Elles sont aussi présentes dans le liquide s'écoulant de blessures.
Les cytokinines régulent la division et la différenciation cellulaires. En absence d'auxines, elles favorisent le développement des bourgeons axillaires. Enfin, elles retardent le vieillissement de certains organes.
Elles ont des propriétés activatrices de la division cellulaire, mais elles sont également impliquées dans la croissance et la différenciation cellulaire, entre autres.
Activation de la production de chlorophylle
* Activation de l'ouverture des feuilles
* Favorisent la croissance cellulaire
* Favorisent la formation de jeunes pousses
* Favorisent le déchargement de composés sucrés par le phloème
* Retardent la sénescence foliaire
* Conjuguées à l'auxine, activent la division cellulaire (l'auxine favorise la duplication de l'ADN ; les cytokinines permettent la séparation des chromosomes)
* Impliquées dans les morphogenèses
* Inhibent la photosynthèse des plantes en C4
* Stimulent le métabolisme des cellules de jeunes pousses (qui ne sont pas à leur niveau de métabolisme maximal) en réponse à une augmentation de l'eau et des substances minérales disponibles.
 Gibbérellines
Les gibbérellines provoquent la croissance des feuilles et de la tige en stimulant l'allongement et la division cellulaires. Elles favorisent aussi la fructification et la germination des graines.
Expérimentalement, son inoculation dans le riz, ainsi que dans divers autres végétaux provoque une exaltation de la croissance. Les gibbérellines agissent essentiellement sur les cellules des entrenœuds qu'elles allongent. Elles contribuent également à la levée de la dormance des graines et au débourrement des bourgeons (vernalisation). Ce faisant, elles s’opposent donc aux effets de l’acide abscissique. Elles peuvent décaler la mesure du temps chez les végétaux. Les traitements aux gibbérellines se substituent aux jours longs et provoquent la floraison de plantes durant les jours courts de l'hiver. Elles induisent une masculinisation des fleurs et stimulent la croissance du fruit. À la différence des auxines, les gibbérellines n'inhibent ni ne stimulent la croissance des racines.
Acide abscissique(ABA)
L'acide abscissique fut d'abord connu sous le nom de dormine. En effet, en 1949, Paul F. Wareing constatait la présence d'un inhibiteur de croissance dans les bourgeons dormants du frêne et de la pomme de terre. En 1960, Frederick T. Addicott découvrait une substance capable d'accélérer l'abcsission des feuilles et des fruits. Il nomma cette substance abscissine. En fait, il s'agissait de la même substance.

Conclusion 


Amaranthaceae

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Amaranthaceae

Plan du travail


žIntroduction
žDéfinition des Amaranthaceaes
žExemple sur quelque espèces de Amaranthaceae en Algérie
žConclusion 
žRéférence bibliographique

INTRODUCTION

žLes Amaranthaceae (Amaranthacées) sont une famille de plantes dicotylédones de l'ordre des Caryophyllales. Cette famille comprend plus de 800 espèces réparties en environ 75 genres. Ce sont des arbustes ou des plantes herbacées, des régions tempérées à tropicales, largement répandues.
Pour la classification phylogénétique la centaine de genres des Chenopodiaceae est inclus dans cette famille

Définition des Amaranthaceaes

žLa plupart des espèces d' Amaranthaceae sont des plantes herbacées annuelles ou vivacesou des sous-arbrisseaux, certaines sont des arbustes ; très peu d'espèces sont des lianesou des arbres. Certaines espèces sont succulentes. De nombreuses espèces ont des tiges aux nœuds épaissis. Le bois de la tige chez les espèces vivaces a une croissance secondaire typiquement « anormale ». C'est seulement chez la sous-famille des Polycnemoideae que la croissance secondaire est normale.
Les feuilles sont généralement alternes, parfois opposées. Elles n'ont pas de stipules. Les feuilles simples sont plates ou cylindriques, leur forme est extrêmement variable, aux bords entiers ou dentés. Chez certaines espèces, les feuilles sont réduites à des écailles minuscules. Dans la plupart des cas, on ne trouve pas d'accumulations de feuilles basales ou terminales











Classification 


Exemple sur quelque espèces de Amaranthaceae en Algérie 

Salicornia Europaea
Salicornia Europaea
Phlomis
Aerva Javanica
Solsola Soda

Conclusion :


žTaxonomie et usages médicinaux sur la famille des Amaranthaceae en croissance dans tout le Rajshahi, au Bangladesh, a été réalisée de septembre 2011 à décembre 2012. Un total de 14 espèces de moins de 8 genres appartenant à la famille des Amaranthaceae ont été collectées et identifiées. La présente étude peut être une contribution préliminaire de ce domaine en utilisant des méthodes de recherche standard, en se concentrant sur les plantes médicinales et leurs utilisations locales pour les soins de santé. Cette information détaillée sera utile pour le pharmacognosiste, botaniste, ethnobotaniste et pharmacologue pour la collecte et l'identification de la plante pour leurs travaux de recherche et l'isolement des produits végétaux bénéfiques pour la santé humaine.